la minuscule galerie a le plaisir de vous présenter

Partie de cache-cache
de
Agathe Halais
Du 14 décembre au 18 janvier
Vernissage jeudi 20 décembre à 19h00

 Samedi 15 décembre 2018, librairie Planète Io, à partir de 16h : Sandrine Le Mével Hussenet et Roger Gossan

Sandrine Le Mével Hussenet revient nous lire l’un de ses écrits, « L’Homme qui marche » écrit pour l’artiste, comédien, musicien et vidéaste palestinien, Hazem Al Sharif.
Elle sera accompagné des percussions de Roger Gossan.
Sandrine LMH inscrits ses récits dans les mythes et les évènements contemporains, ainsi elle s’est également inspirée du destin d’un ami afghan que la route de l’exil à travers les montagnes afghanes avait métamorphosé.
« L’Homme qui marche » est, comme ses illustres homonymes de sculpture, universel,  et ajoute-elle « venu du fond des âges ou des temps à venir ».

http://chr-chomant-editeur.42stores.com/?q=l%27homme+qui+marche

Vendredi 14 décembre 2018, librairie Planète Io, à partir de 18h30 : Nadia Alcaraz

Travailleuse sociale, professeur de danse et de théâtre, engagée dans la lutte contre les racismes et les discriminations, Nadia Alcaraz est née et à vécu à Oran.
Ce sont sur ces différent points de vie qu’elle s’appuie pour écrire.
« Dans l’eau de la claire fontaine », son dernier texte paru cette année aux Éditions Hedna, il s’agit du récit de protagonistes que l’auteur a bien pu croiser, des pauvres, des jeunes, qui finissent dans une fosse commune et dont elle retrace l’histoire …


Mercredi 12 décembre 2018, librairie Planète Io, à partir de 18h : les livres qu'on aime, on en parle !



Venez nous faire découvrir votre coup de cœur littéraire du moment et pourquoi pas nous en lire un extrait, dans un moment de convivialité autour d'un thé …

 Samedi 8 décembre 2018, librairie Planète Io, à partir de 16h : une lecture musicale de M. Juet et J. Tirot
  
Un texte, « Le Chant de l'oiseau liberté », écrit et lu par J. Tirot et mis en musique par M. Juet.   
« Derrière le crayon, il y a moi, la rennaise amoureuse des mots, avec sa palette de couleurs pour dire la vie. Derrière le violon, il y a toi, la bretonne, celle qui vient rythmer la voix de la vie. Le Chant de l'oiseau liberté est un chuchotement de mots, habillé sous la forme d'une nouvelle et agrémenté d'un bouquet de poèmes, laissant au lecteur une agréable sensation de l'instant présent. »

Mardi 27 novembre 2018, Science Po Rennes, à partir de 18h : Dominique Vidal

Les Amis du Monde diplomatique, l'association Germinal et la librairie Planète Io vous proposent un débat avec Dominique Vidal, autour de son ouvrage, publié avec Betrand Badie, sur les populismes. Le terme de « populisme » est omniprésent dans la rhétorique politique comme sous la plume des journalistes et des chercheurs. Il semble pourtant aussi délicat à définir qu’à interpréter, conduisant parfois à des rapprochements douteux. En ces temps de fièvre populiste, il est donc décisif et urgent de se saisir du phénomène avec rigueur. 
Quelle est la genèse du populisme ? Les historiens nous aident à comprendre comment et pourquoi celui-ci apparaît par vagues successives depuis la fin du XIXe siècle. Des approches sociologique, politique et économique viennent compléter cette « mémoire ». Quels sont les traits communsà ces expériences diverses, les symptômes – du culte du chef aux techniques de propagande démagogique –, les pratiques récurrentes ? Existe-t-il une ou des politique(s) populiste(s) cohérente(s) en matière économique, sociale ou étrangère ? Enfin, des exemples contemporains, de Trump à Poutine, en passant par Chávez, Erdogan et bien d’autres, permettent d’appréhender très concrètement les expériences populistes actuelles. Pourrait-on parler d’un « moment populiste » de notre espace mondial.

Jeudi 8 novembre 2018, librairie Planète Io, à partir de 18h : Lorène Güney

Mona, bretonne, la narratrice de « Le goût des oursins » (éditions Turquoise, 2018) marche sur les traces de sa mère, Marie, qui dans les années 80 lors d’un voyage en Turquie à épousé la cause kurde et le père de Mona.. Le récit est évidement celui d’une quête d’identité mais décrit assez singulièrement la vie stambouliote d’aujourd’hui notamment au travers des trois amies de Mona. 
« C’est aussi un regard sur la Turquie des années 1980 qui vivait dans une atmosphère de violences policières qu’on espérait avoir largement disparue jusqu’en juillet 2016 » (Ernest, site Grégoire de Tours).